Être délivrée des règles, qui n’a pas répété comme un Mantra : “Vivement la ménopause !”
C’est la fin des hormones... Pas la fin des haricots !
Bien s’y préparer pour mieux la vivre est la mission première de cet article. La ménopause est un cap incontournable pour vous mesdames, je ne vous apprends rien ! Certes, la ménopause est de moins en moins un sujet tabou, mais elle propage une image de vieillissement quant à l’image des symptômes qu'elle accompagne !!!! Au secours... Pour rédiger cet article nous nous sommes penchés sur les solutions, car le problème, ce sont des thèses entières écrites sur le sujet.
Nous allons voir comment s’y préparer afin de mieux la vivre en évitant ainsi de la subir
Comme de nombreuses femmes l’appréhension de la ménopause s’apparente à angoisse, bouffées de chaleur, sueurs nocturnes, perte de libido, etc. Autant de symptômes les plus invalidants les uns que les autres.
Fort heureusement, la ménopause n’est pas vécue de la même façon pour toutes les femmes. Loin s'en faut. Cycle naturel de la vie pour les unes et seconde jeunesse, bouleversement hormonal et épisode dépressif pour les autres, tout est question de positionnement et de ressentis.
Nous allons développer dans cet article des solutions et uniquement des solutions basées sur des expériences humaines positives.
Vous êtes ce que vous mangez :
En Chine par exemple, saviez-vous que les femmes n'ont quasi pas de bouffées de chaleur ? En effet, leur alimentation basée sur une supplémentation en phytoestrogènes les aide à passer ce cap important. Pour beaucoup de femmes asiatiques, le précepte est simple : « vous êtes ce que vous mangez ». Cela se résume à l’importance de ce qu’il y a dans nos assiettes. Les Œstrogènes végétales doivent avoir une place prépondérante dans votre assiette, le soja, les graines de lin et le trèfle rouge contiennent des substances analogues aux œstrogènes, qui atténuent les bouffées de chaleur. Les aliments riches en zinc comme la viande, le fromage, les céréales, les noix, les œufs et le poisson accroissent la production de testostérone, limitant les problèmes de libido.
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La zen attitude et héritage génétique :
Le fait est que c’est la crainte de la ménopause qui peut être la cause de tous les maux. Comme tout changement hormonal, le stress y trouve une belle place, laissant part à toutes émotions et sautes d’humeur. L’anxiété exacerbée due bien souvent à la fatigue, les insomnies dues aux suées nocturnes, la perte de libido, ce qui n’arrange rien dans le couple pour toutes ces dames accompagnées et j’en passe… Eh oui, c’est ce que l’on lit dans tous les magazines, effrayant n’est-ce pas ?
Chez les femmes qui craignent précocement les effets de la ménopause, la probabilité de souffrir bel et bien des symptômes s’accroît. Encore une fois, les femmes réagiront de façon différente sur le plan émotionnel. D’où l’importance d’un inventaire personnel, ce que j’appelle l’inventaire de l’héritage maternel, génétique et psychologique. Il me semble indispensable, pour ne pas répéter le schéma maternel et ainsi pouvoir vivre sa ménopause à soi, de ne pas répéter les schémas personnels. S’informer précisément sur les changements physiologiques et psychologiques de la ménopause c’est bien, mais gardez bien en tête que toutes les femmes non pas les mêmes symptômes et que beaucoup en sont exempts.
Les médecines douces comme l’acupuncture, la phytothérapie, la relaxation, l'hypnose, proposent de nombreuses alternatives très intéressantes pour diminuer l’inconfort. Tout comme l’exercice physique qui permet d’évacuer la tension nerveuse, de limiter la prise de poids, mais également de diminuer les bouffées de chaleur, n’hésitez pas à vous organiser une nouvelle vie, les pilates, le yoga, la relaxation, la marche ou tout autre activité.
Le but c’est de vous faire plaisir
Celles qui s’en sortiront le mieux seront celles qui l’auront décidé. Eh oui, je décide d’être heureuse et de bien vivre cette pause physiologique que m’offre mon corps. S’occuper enfin de soi deviendrait-il une nouvelle priorité ? Plus qu’une priorité, c’est la clé.
Il est à noter et n'en déplaise à la parole scientifique, qu'une étude publiée par "The Lancet", affirme que le traitement hormonal augmente significativement les risques de cancer du sein mais qu’en plus, il était loin de tenir sa promesse en matière de traitement des symptômes.
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