Une petite suggestion avant de lire cet article : installez-vous confortablement avec une petite musique qui vous renvoie à des énergies positives.
La culture de la psychologie positive
La psychologie positive s’est développée dans les années 1980 sous la houlette de Martin Seligman.
Celle-ci est définie comme « l’étude scientifique des conditions et processus qui contribuent à l’épanouissement ou au fonctionnement optimal des individus, des groupes et des organisations ». A ne pas confondre avec la méthode d’autosuggestion et d’autohypnose dite la méthode Coué, qui peut y être intégrée comme outil et qui elle, provient du psychologue et pharmacien français Emile Coué.
Cette branche officielle de la psychologie s’intéresse à l’optimisation du fameux concept du bonheur. Une amélioration du bonheur, qui par de petites actions, peut amener à de grandes transformations.
La psychologie positive est un mode de vie
Elle s’intéresse à tous les aspects de notre vie personnelle, professionnelle, relationnelle, éducation, parentalité, etc.
Nous pouvons donc visualiser celle-ci comme une matière d’apprentissage comme à l’école.
« La connaissance s'acquiert par l'expérience, tout le reste n'est que de l'information. » Albert Einstein
Un voyage au centre du bonheur ?
Le bonheur : « l’expérience de la joie, du contentement ou du bien-être, combinée au sentiment que notre vie est utile, a du sens et vaut la peine d’être vécue ». Définition selon Sonja Lyubormirsky, professeur de psychologie américaine qui a consacré la majeure partie de sa carrière à l’étude du bonheur.
Synthèse de ces études
Les gens heureux sont plus créatifs, plus productifs, gagnent mieux leur vie, sont de meilleurs leaders et de meilleurs négociateurs. Ils ont plus de chance de se marier avec des mariages plus solides, sont plus généreux et ont plus d’amis. Meilleure résistance au stress et aux traumatismes avec un système immunitaire plus performant et ont une espérance de vie supérieure de 5 à 7 ans en moyenne !!
Eh bien franchement, nous sommes convaincus qu’il serait dommage de se priver de cette science.
Comment agir sur son degré de bonheur ?
Des études montrent qu’en réalité, notre situation a un impact faible sur notre niveau de bonheur.
50% de notre bonheur est lié à nos gènes (notre capital initial en quelque sorte, que nous ne pouvons modifier).
10% de notre bonheur est lié à nos conditions de vie (statut, argent, environnement, état de santé, etc.).
40% de notre bonheur est lié à notre comportement (c’est-à-dire aux activités que nous menons au jour le jour) et à notre façon de percevoir les choses. Et c’est donc sur ces 40% que chaque individu peut choisir d’agir et d’optimiser son niveau de bonheur.
Les fatalistes penseront qu’il est bien dommage de ne pouvoir agir que sur 40% de notre niveau de joie et nous pensons que c’est une formidable nouvelle pour les optimistes que nous sommes, car en adoptant les bonnes attitudes et les bonnes actions associées, nous pouvons changer le cours de notre vie ! Alors ne prenons plus le problème à l’envers.
Du temps, de l’énergie et de la motivation : « un voyage de mille lieux commence toujours par un premier pas ».
Je n’y arrive pas toute seule ? (Le coaching en développement personnel peut être un bon tremplin pour se mettre en action et pourquoi pas, un créa-coach ?)
Ayez confiance et amusez-vous, le but étant d’être plus heureux.