Tout savoir sur le squirt : on ouvre les vannes

C’est dans l’air, faisons notre affaire… S’exalter, se coïter… Libérons nos productions érectiles !

Révélation sur l’émission fontaine, le squirt !  Plaît-il ?
Oui, vous avez bien lu... Il est temps d’éjecter notre geyser tel une rivière. 

Attention, la pratique du squirt, le squirting, n’est en rien une éjaculation !

Il s’agit en réalité de l’éjection d’un liquide via l’urètre ! (Non, vous ne vous soulagez pas… Enfin, si un peu…Mais il ne s’agit pas d’urine à proprement parler). Un liquide pour dire adieu à nos rides ! Créatine (un dérivé d’acide aminé), urée et acide urique sont les principaux constituants de cette noyade par cascades. L’on trouve aussi, du PSA, une substance en provenance de la prostate (Euh… que raconte-elle ? Une prostate chez les femmes ?). 
Effectivement, les glandes de Skene, sont des structures apparentées à la prostate masculine (elles sont divines !), situées le long de l'urètre. 
Bon, trêve de plaisanteries… Passons aux choses sérieuses… Vous voulez savoir comment squirter, bande de crapules ! Vous avez déjà remplacé votre tubercule minuscule en majuscule (Mmmh… l’impatience de la jouissance). 

Dans un premier temps, trouvons le bouton de pression !
Celui-ci se situe à deux phalanges de votre berlingot (oui, ce mini pénis… le clitoris), au niveau de la paroi de votre vagin en chemin vers votre intestin (grosso modo vers le haut de votre vagin non loin de votre vessie). Après localisation, votre partenaire va effectuer de multiples caresses circulaires sur le secteur… A la bonne heure ! Le pianotage à cadence accélérée vous mettra en nage, permettant de décupler la pression exercée sur les glandes de Skene. La mise en place des doigts de votre partenaire en forme de crochet est nécessaire. Courbage, contraction et extension de ces même doigts sont la loi ! 
C’est la débâcle, les eaux vont déferler ! Pas d’angoisse, vous ne pissotez pas (le pipi a déjà été évacué préalablement). Donc détente et restez bouillante ! Cette stimulation érotique a tout simplement occasionné une inondation soudaine de la vessie, par une urine bigrement diluée et de nombreuses sécrétions des éminentes glandes de Skene.
L’orgasme n’est pas loin, la fontaine commence à jaillir. 

Vous êtes désormais des pros en squirt ! Mais si vous n’avez pas la possibilité d’expérimenter avec un/une camarade, je vais effectuer un petit interlude pour les solitaires ou les dames fortement éprises de sexe ! Eh oui, la masturbation reste tout de même une activité largement plaisante ! Il faut bien assouvir nos pulsions ! 
Pour ce faire, un godemichet ou vos propres doigts sont les bienvenues au sein de votre vagin. Ceux-ci doivent tambouriner vers le haut de votre vagin, non loin de votre vessie, comme vu précédemment. Pour faciliter l’émission de l’exquis liquide, contractez votre périnée ! 

Attention, note importante, pas de désolation ni rébellion si cette pratique ne fonctionne guère sur vous… Certaines personnes réussissent à le vivre et à apprécier (10 à 40%), d’autres non. Mystère et boule de gomme… A vous de vous entraîner, pour peut-être réussir à squirter !
Augmentons les stats mes délicates chattes ! (Ma verbe est en proie à l’excès, mais cela me plaît !)
Gémissons à l’unissons mes impératrices du pubis !