Destin de star : descente aux enfers et fin tragique

Ces stars que l'addiction a emportées. Malgré la gloire et la fortune, certaines stars ont connu des fins tragiques

Addiction une triste fatalité
A Hollywood, les addictions en tout genre sont choses communes. Pour beaucoup de stars, l’alcool et la drogue représentent une échappatoire irrésistible et cette rencontre est bien souvent mortelle, nombreuses sont les stars qui tombent dans l'enfer de l’addiction. La liste est malheureusement longue des célébrités ayant quitté ce monde, qui n’ont pas réussi à combattre leurs démons.
Malheureusement, ce fléau mondial ne touche pas que le monde des paillettes et les chiffres sont toujours aussi alarmants.

Que sont devenues toutes nos idoles ?
Les stars de cette liste n’ont malheureusement pas réussi à se sortir de leurs dépendances et nous ont quitté bien (trop) jeunes.

Ex-fan des sixties ou le « 27 Club »
Vous souvenez-vous du destin tragique des suites d'une surdose d'alcool ou de drogues de Kurt Cobain, Jimi Hendrix, Janis Joplin et Brian Jones… Tous décédés en pleine gloire à l'âge de 27 ans des suites d'une surdose d'alcool ou de drogues.
En 2011, Amy Winehouse, l'une des chanteuses les plus influentes des années 2000, est décédée des suites d'une intoxication alcoolique. Leurs points communs bien au-delà d’être toutes des stars, restera leurs âges : seulement 27 ans.
Voici un triste panel où les couleurs sombres viennent noircir un dramatique constat. Qui prouve bien qu’il n’y a pas d’issue si l’on ne met rien en place, si l’on ne demande pas d’aide, si on laisse la maladie gagner du terrain.

Les stars avec leurs produits de prédilection 
Overdose de cocaïne
Avec plusieurs scandales médiatiques, le triste destin de Whitney Houston a marqué de nombreux fans. Plongée dans les enfers de la drogue, cette légende de la chanson s’est éteinte à 48 ans des suites d’une overdose de cocaïne qui aurait occasionnée une crise cardiaque.

Quand médicament et alcool poussent au suicide
La disparition tragique de Romy Schneider retrouvée morte dans son appartement à Paris des suites d'abus de somnifères et d'alcool dans la nuit du 29 mai 1982, nous marquera à tout jamais, âgée seulement de 44 ans. Une autre star du cinéma, la star américaine Marilyn Monroe, morte dans la nuit du 5 août 1962 dans sa villa de Brentwood, près de Los Angeles, se serait suicidée des causes d'une surdose médicamenteuse, alors âgée de 36 ans.
Les narcotiques ne font toujours bon ménage
Quelques années plus tard, c’est au tour de Mickael Jackson. Le 29 juin 2009, le monde de la musique perd son roi. Complètement dépendant aux narcotiques, c’est tout un mythe qui s’effondre autour de Michael Jackson, alors âgé de 50 ans. Somnifères, antidépresseurs et analgésiques, il usait de tous les subterfuges pour obtenir des doses de plus en plus fortes, ce qui occasionna certes une mort accidentelle à la suite d'un surdosage de Propofol. Le chanteur a toujours été connu pour avoir un faible pour les médicaments.

Rechute mortelle
Si je vous dis : Diva soul des années 2000, chanteuse britannique dotée d’un immense talent à la voix soul jazzy… Interprète de l’immense succès Back to Black, cible des tabloïds britanniques ?!  Nous pensons immédiatement à Amy Winehouse. Retrouvée sans vie dans sa maison de Camden Square, le 23 juillet 2011, elle est partie rejoindre le "club des 27" après une longue période d’abstinence. "Rehab" NO NO NO ne laisse guère d'ambiguïté sur le sujet de sa chanson, l'histoire personnelle d'Amy Winehouse est devenue son plus grand tube.
A l’image de la regrettée Amy Whinehouse, toutes ces âmes perdues au point d’abandonner leur vie, nous servirait-il de leçon ?
Devrions-nous en faire une force en diffusant largement leurs histoires…

Toutefois, il faudrait être stupide et irrationnel, voire mauvaise langue pour trouver une relation entre toutes ces personnes et cela en deviendrait pathétique.
Aussi tragique que stupide, les stars sont facilement montrées du doigt, proies de nombreux journalistes, paparazzis à l’affut d’une éventuelle perte de maîtrise, pointant de fait la maladie comme une faiblesse.
Pourtant ne serait-il pas plus facile de pointer du doigt les solutions, que le désarroi de ces personnes…
Le constat des addictions n’en demeure pas moins qu’un fléau mondial. A bon entendeur.