Le but ultime du peaking

En vogue aux Etats-Unis, découvrez le fer de lance d’une nouvelle tendance dite de "slow sexe" !

Un contenu tout en retenu… Cela vous interpelle mes beaux taureaux.

Immisçons-nous dans le vif du sujet, qu’est-ce que le peaking ? 
Tenue correcte exigée, string, jogging pour un peaking des plus ultime sur le ring ! (Il me fallait clairement des rimes en « ing », ne m’écoutez pas et tous à poil !) 
Commençons par décrire la pratique du peaking, qui n’a en aucun cas l’air « boring » (ennuyeuse). Cette technique frénétique se base sur la contenance même de l’orgasme. Le but de ce rut est de freiner l’orgasme, ne permettant pas qu’il vous envahisse, même si c'est l'orgasme à coup sûr.

L’alliance d’une cadence ralentie et d’un mouvement à tendance plus doux sont les clés pour bénéficier de ce bouquet des plus… Ou lala n’en disons pas plus… Ce n'est pas un cunnilingus ! LOL (Cela part réellement sur ce genre de dialogue, ne faites pas les hommes prudes… 

Le contrôle de cette montée orgasmique, implique de la pratique :
Le propos d’ordre est : concentration sur vos sensations. Le jeu en devient alors plus belliqueux, sentant la vague de plaisir monter puis redescendre et remonter jusqu’à l’inéluctable extase. 
Rebondissement, tout ne s’arrête pas là. Vous pouvez inspirer profondément et contracter votre périnée… Puis relâcher le tout en expirant. L’inondation hormonale frappe alors la totalité de votre corps. Si l’érection diminue, ce n’est pas un problème, ne vous faites pas de blêmes. Rappelons que la qualité d’un orgasme ne dépend pas forcément de la rigidité de l’érection. Mais si le stress vous oppresse, n’ayez pas de retenu à recaressez votre partenaire. 
L’exploration de cette énergie sexuelle vous fera découvrir un type d’orgasme supplémentaire. Eh oui, il en existe de toute sorte, suivant les conditions de pratique, la pratique même et l’individu se trouvant en face de vous ! Tant de nouveauté à votre portée ! (Vous ne trouvez pas tout ceci excitant ! Nous ne connaissons qu’une infime partie de notre sexualité ! Alors par curiosité, tentez des variétés !)
Mon petit doigt m’a dit… Que nous n’avions pas parlé de plaisir solitaire. Le peaking est absolument réalisable en solo (j’espère que vous allez tester ça dès maintenant, abandonnez cette lecture et découvrez vos ressentis). 

En effet, petit témoignage de Céline, adepte du peaking, une masturbation en deux temps peut être revigorant ! Je vous explique, par exemple un premier massage clitoridien avec votre doigt (ou comme vous avez l’habitude de le faire) lance un premier orgasme (si ce n’est pas le cas, pas de tracas, toutes les femmes et hommes ont plus ou moins de facilité à atteindre l’orgasme).
Si votre appétit n’est toujours pas rassasié, deuxième phase ! Réeffectuez la même pratique, en contractant cette fois-ci votre périnée. La sensation de l’excitation et de l’orgasme se retrouve alors d’une différence implacable par rapport à la première phase. Celui-ci sera teinté d’un relâchement et d’une explosion plus intense de tout votre être. La vitesse de votre doigt balayant la surface de votre clitoris est à manier selon vos attentes. Milles nuances de plaisirs sont à éclaircir. 
Second témoignage, conséquence de l’interview d’un petit filou the peaking attitude ! Celui-ci nous explique sa branlette la plus chouette. Après oscillation le long de son éperon, plusieurs alternatives s’offrent à lui, soit par un « arrêt de branlette » et une reprise de l’oscillation ou bien le serrage de son pénis (via sa main), prolongeant le moment de jouissance et de contraction du corps. Il se retrouve alors au bord de l’éruption et réapplique les fameuses oscillations pour reprendre le contrôle et éjaculer d’un jet achevé. 

Caresse sur vos fesses, en toute tendresse !