Cherchant à passer de l’ombre de l’insaisissable à la lumière de la connaissance, une des plus vieille science du monde, la numérologie a toujours passionné. Puiserait-elle ses racines dans les mystères de l’Atlantide ? Quel rôle Pythagore a-t-il joué dans la plus ancienne étude des nombres ?
Dans cet article, nous essayerons d’être le plus rationnel possible. Compte tenu d’une part de l’antique civilisation de l’Atlantide et d’autre part de son empreinte kabbalistique.
Le domaine des sciences occultes ainsi que la connaissance de l’homme intéressent les plus grands de ce monde, depuis que le monde est monde, c’est pourquoi la numérologie gagne chaque jour de plus en plus de terrain. De plus en plus connue et reconnue par le public, elle fut introduite en France avec le courant new-age et même si l’ensemble de l’origine de ses fondations reste incertaine, son pilier quant à lui reste mystique, énigmatique et continue de nous bercer dans les cycles qui rythment notre existence.
La numérologie et les mystères de l’Atlantide
Ancien continent qui se trouvait dans l’Atlantique, le mythe de l’Atlantide, civilisation exceptionnelle, est d’abord connu dans l’imaginaire collectif, pour descendre de la mythologie gréco-romaine. Il est à noter qu’à ce jour, nous ne sommes pas sans savoir qu’un groupe de chercheurs français et grecques ont élucidé la raison de la disparition de l’Atlantide.
La numérologie et Pythagore
Même si les racines de la numérologie remontent à des milliers d’années, Pythagore, mathématicien et philosophe grecque, était persuadé que la réalité était mathématique. Il considérait l’univers entier comme étant composé de symboles mathématiques et s’appuyait sur le fait que toute chose peut être exprimée en nombre.
Les enseignements de Pythagore ont trouvé une place prépondérante auprès des notables Socrate et Platon, ce qui a conduit à l’expansion de la numérologie et le pourquoi elle continue d’être étudiée et pratiquée à ce jour.
La numérologie et le monde hébreu
Nous voilà dans une vision bien différente des choses, où la numérologie art divinatoire le plus ancien au monde, prendrait sa source dans l’alphabet hébreu. Nous y retrouvons ainsi la logique de l’interprétation numérologique, qui repose sur les valeurs des 22 lettres hébraïques. Dimension mystique et porteuse de sens, cette plus vieille science du monde que l’on retrouve dans les livres de sagesse ancienne, aurait-elle encore des secrets à nous délivrer ?
Longtemps réservée à un certain cercle d’initiés qui auraient jalousement gardé le secret de cet outil de divination, nous devons sa codification à Pythagore. Malgré des empreintes hindouistes et tibétaines, que nous ne pouvons pas exclure, puisque si l’on entend les discours des numérologues, beaucoup s’appuient sur les karmas, une soi-disant dette contractée dans une vie antérieure avec la possibilité de la régler dans cette incarnation.
La clarté et la puissance de cette science basée sur la connaissance de soi et de son destin, nous offre la possibilité de pouvoir mieux connaitre nos forces et nos faiblesses.
